
En dévalant l'escalier de la rue Victor Maurel qui permet de passer sous le Pont de la fausse monnaie, je ne peux m'empêcher de fredonner...

Quello era il tempo del mio verde Aprile,
quello era il tempo del mio lieto Maggio,
tant'ero smilzo, flessibile e snello
che avrei guizzato attraverso un anello..."
...et d'avoir une pensée pour ce grand baryton marseillais créateur du Iago et du Falstaff de Verdi.
Alors avant d'adopter la position du lézard...
" Quand'ero paggio del Duca di Norfolk..."
Merci à v.f.
2 commentaires:
Maurel, c'est l'une de mes idoles ! Marseillais lui aussi ? Tronche d'aï, non ci avevo fatto caso.
Tu trouveras son "Quand'ero paggio" ici.
Viva Verdi, viva Maurel !
fangirl newyorkaise
Eh oui Marseillais !
Grazie mille, mia cara !
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