samedi 28 février 2009

Puccini
















C'est avec un peu de retard que la RAI commémore les 150 ans de la naissance de Giacomo Puccini.
Ce dimanche, RAI Uno diffuse le premier épisode d'une minisérie (deuxième et dernier épisode lundi) sur la vie du compositeur.
L'excellent Alessio Boni incarne Puccini et l'on retrouve à ses côtés Stefania Sandrelli (Albina Puccini, sa mère), Sophie von Kessel (Elvira Puccini, sa femme), et Franco Castellano (Arturo Toscanini).
Ce biopic filmé à Lucca et à Torre del Lago et réalisé par Giorgio Capitani revient sur les grandes heures de la vie du compositeur toscan.

mardi 24 février 2009

Il Pirata - revue de presse






















Sus au Pirate ! - Maurice Salles - Forum Opéra
Il Pirata, Opéra de Marseille - Francis Carlin - Financial Times
Il Pirata - Abordage réussi - François Lesueur - Concertclassic.com
Le gothique essuie un grain - Christian Dalzon - ConcertoNet.com
Le Pirate chez les chemises noires - Patrick de Maria - La Marseillaise
Il Pirata, aux sources du romantisme noir - Interview de Stephen Medcalf par Patrick de Maria - La Marseillaise
Le Pirate retrouve l'Opéra de Marseille - Diaporama - La Provence

Photo : Frédéric Speich

Solo
















Il y a quelques jours arrivait dans les bacs "Solo dal vivo" premier album live de Gianmaria Testa.
Enregistré à l'Auditorium de Rome le 3 mai 2008, ce concert rassemble vingt titres, dont deux inédits, "La nave" (Angelo Ruggiero) et "Come al cielo gli aeroplani".
La démarche évoque "Il valzer di un giorno" (2000). Dans cet album, Testa enregistrait à nouveau ses titres les plus connus pour voix et guitares.
La présence du public apporte bien évidemment à ce nouveau disque un tout autre climat et l'exercice qui consiste à présenter ses chansons "toutes nues", dépouillées de tout arrangement, telles qu'elles ont été conçues à l'origine prouve, s'il en était besoin, que Gianmaria Testa est bien, le plus grand "cantautore" italien actuel.










Gianmaria Testa
Solo - dal vivo
Harmonia Mundi
2008

vendredi 13 février 2009

Scarlett
















I have come 500 miles just to see a halo
Come from St. Petersburg, Scarlett and me
Well I open my eyes, I was blind as can be
When you give a man luck, he must fall in the sea
And she wants you to steal and get caught
For she loves you for all that you are not
When you're falling down, falling down
When you're falling down, falling down, falling down

You forget all the roses, don't come around on sunday
She's not gonna choose you for standing so tall
Go on and take a swig of that poison and like it
And don't ask for silverware, don't ask for nothing
Go on and put your ear to the ground
You know you will be hearing that sound... falling down
You're falling down

When you're falling down, falling down, falling down

Go on down and see that wrecking ball come swinging on along
Everyone knew that hotel was a goner
They broke all the windows, they took all the door knobs
And they hauled it away in a couple of days
Now someone yell timber and take off your hat
It's a lot smaller down here on the ground
You're falling down...

Scarlett Johansson - Anywhere I lay my head (2008)
Falling down - Tom Waits (1988)

lundi 9 février 2009

En attendant "Il Pirata"...






















Vincenzo Bellini (1801 - 1835)
Il Pirata
création au Teatro alla Scala - Milano le 27.X.1827

Imogene : Angeles Blancas Gulin
Adele : Muriel Oger-Tomao
Gualtiero : Giuseppe Gipali
Ernesto : Fabio Maria Capitanucci
Goffredo : Ugo Gagliardo
Itulbo : Bruno Comparetti

Orchestre et Choeur (Pierre Iodice) de l'Opéra de Marseille

Direction musicale : Fabrizio Maria Carminati
Mise en scène : Stephen Medcalf
Décors : Jamie Vartan
Costumes : Katia Duflot

Opéra de Marseille les 17, 20, 22 et 25 février

Discographie












Deux versions s'imposent dans la discographie.

1959 - Carnegie Hall
Maria Callas est captée sur le vif. La partition est mutilée et la distribution d'une rare médiocrité, mais la "Divine" retrouve après son triomphe milanais l'une de ses incarnations les plus mémorables.

1970 - EMI
Ruggero Raimondi est un luxueux Goffredo. Gavazzeni et Cappuccilli confondent Bellini et Verdi, Bernabé Martì est tout simplement impossible.
Mais il y a Montserrat Caballé et nous sommes au début des années 70.
Autant dire que la soprano catalane est à son meilleur. Difficile de trouver Imogene plus inspirée, plus poétique et éthérée.

Vocal score